Sienna Lyons
Messages : 120 Inscription : 10/09/2015 Avatar : the lauren german. Crédits : silver feather. (avatar), queenofthenorths@tumblr. (gif), le temps d'un soupir@anne philipe. (citation) Multis-comptes : non. Pseudo : joplin. (maëlys) Age : thirty yo. Statut : single, super aunty. Métier : ex-nurse, police officer.
| Sujet: (M) TAYLOR KINNEY - LIBRE/NEGOCIABLE. Ven 11 Sep - 17:47 | |
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SIMON OSWALD – panser les maux sans mots. – NOM : oswald. PRÉNOM : simon, deuxième du nom, puisqu'il porte le nom de son grand-père. AGE : trente-deux ans. ORIGINES : né de deux parents américains, il vient d'une petite ville d'Alabama qu'il a quitté très tôt. STATUT : je le voyais célibataire. bien sûr, il peut avoir une histoire avec une femme, mais rien qui n'ait un avenir. il peut même être divorcé si vous le souhaitez. MÉTIER : c'est un titulaire en neurochirurgie. un métier qui le passionne et qui le rend passionnant. TRAIT DE CARACTÈRE : il y a deux facettes dans la personnalité de simon. ses collègues vous diront qu'il est consciencieux, tête brûlée, orgueilleux, bienveillant, sanguin et impliquée; ses proches quand à eux vous diront qu'il est ouvert d'esprit, respectueux, jovial, ironique avec le coeur sur la main. deux personnalités bien distinctes qui font une seule et même personne. GROUPE : au choix. AVATAR : l'idéal pour moi serait que tu choisisses taylor kinney, parce qu'est-ce que j'aime le shayveride, bordel **. après, si vraiment tu es intéressé(e) par le scénario mais que kinney, c'est juste pas possible, je te propose trois autres noms : daniel gillies, wilson bethel, mike vogel. – Sometimes having values brings you happinessl'histoire est plutôt libre. je vais te donner quelques pistes pour que tu vois comment je vois à peu près le personnage, mais ce n'est qu'optionnel. je n'aime pas laisser une histoire figée donc on peut toujours en discuter. (a)
comme je l'ais dit plus haut, Simon vient d'une petite ville d'Alabama. il a quitté celle-ci lorsqu'il fut en âge de le faire, afin de s'offrir toutes les opportunités de réussir. cependant, il n'a absolument pas honte d'être originaire de là-bas et assume parfaitement son statut de petit garçon du sud. d'ailleurs, il essaye de revenir le plus souvent possible, surtout pendant les fêtes de fins d'années où il redevient un petit garçon qui dévore du regard les décorations. ≈ je le voyais bien venir d'une famille plutôt basique : des parents qui sont ensembles depuis plus de trente ans, des frères et soeurs (ou que des frères, ou exclusivement des soeurs, à ta guise, mais j'aurais aimé qu'il soit l'aîné.), une maison qu'il connaît depuis sa plus tendre enfance. pas de drame familial à l'horizon (enfin, du moins, pas à sa connaissance). ≈ j'imaginais Simon n'avoir eu qu'une seule histoire d'amour sérieuse. quelque chose qui a duré assez longtemps pour qu'il soit fiancé. au bout du compte, cela aurait tourné au fiasco (tromperie, différends sur la manière de voir l'avenir) ou pire au drame (accident, suicide). mais dans tout les cas, cela ne serait pas de sa faute. ≈ son comportement a remis en question plusieurs fois son cursus au sein de l'hôpital. fonçant tête baissée sans écouter les recommandation, il a faillit plusieurs fois se faire virer. mais il est vraiment doué, ce qui le sauve à chaque fois. ≈ pas du genre à s'installer, il aurait sillonné l'amérique et aurait gardé son emploi dans un hôpital qu'une année grand max à chaque fois. il aurait un/une ami(e) qu'il connaît depuis toujours et qui le suivrait à chaque fois. ≈ Simon n'est pas très expansif. c'est très difficile de savoir ce qu'il pense, s'il est blessé, s'il est content, s'il est en colère. il faut le pousser dans ses retranchements pour qu'il finisse par s'énerver et qu'il crache le morceaux. – We own the night. sienna lyons. – red hands, red heart. Simon et Sienna, ce n'est qu'une histoire de mauvais timing. Ils ont travaillés des années ensemble sans prêter attention l'un à l'autre. Sienna était l'infirmière, Simon celui qui donnait les ordres à tout bout de champs. Il posa vraiment les yeux sur elle le jour de l'accident, puis, le destin a fait qu'il soit la personne en charge de sa soeur. Pas du genre à faire dans l'empathie, il fut cependant touché de voir cette jeune femme s'occuper seule de sa soeur telle une tigresse. Alors, un peu plus chaque jour, il prit du temps, pour discuter avec la jeune femme, histoire qu'elle voit qu'elle n'était pas seule dans son combat. Au fur et à mesure, un lien étroit se tissa entre eux, lien qu'aucuns d'entre eux réussit encore à définir. Une relation qui explosa lorsque la soeur de sienna rendit son dernier souffle devant ses yeux sur la table d'opération. Malgré la haine que la jeune femme peut lui porter, il resta des semaines à ses côtés, patientant qu'elle sorte de son mutisme et sans rien attendre en retour. Peut-être faisait-il cela par culpabilité, peut-être parce qu'il tenait réellement à elle. Et puis elle a disparu dans le nature, comme ça, le laissant sans réponses à ses questions. Cependant, le destin se joue bien de ces deux-là et va bientôt les remettre sur la même route.
voilà (a). Pour plus d'information, je vous invite à lire ma fiche se trouvant ici. *m* et comme je suis une partenaire trop sympa, j'ai même écris la suite de leur relation ici :
- lywald, acte II:
Il est enfoncé dans son siège depuis maintenant quinze minutes, dévisageant la jeune femme en face de lui depuis un bon moment. Elle ne le regarde pas. Elle ne regarde personne. Il baisse le regard. C'est tellement frustrant d'être assis, de la voir ainsi et de ne rien pouvoir faire. Elle est comme une personne étrangère à elle-même. Tellement absente. Tellement éteinte. Une coquille vide. Vide, c'est le mot. Comme une impression qu'elle avait quitté son corps pour n'être plus qu'une simple enveloppe de chairs. Il finit par se redresser, posant ses coudes sur ses genoux, et relève la tête. « lila t'embrasse. c'est elle qui t'as envoyé le bouquet de fleurs là-bas. plutôt sympa. » lance-t-il, un sourire sur les lèvres. Vu la réputation qu'il a dans cette hôpital, pas sûr que quelqu'un ait une attention aussi sympathique à son égard. Ou alors ce serait sûrement un interne qui cherche à lui faire de la lèche. « j'ai guéri quelqu'un aujourd'hui, enfin j'ai plutôt rallongé sa vie. tu aurais vu comment sa femme était heureuse et comment elle m'a sauté dessus, c'était vraiment flippant. » rajoute-il, accompagné d'un rire. C'est ce qui lui fait aimer son boulot. Pouvoir lire le soulagement sur le visage de la famille d'un patient, être en quelque sorte un dieu le temps d'un instant. Simon scrute Sienna une nouvelle fois. Ses traits restent neutre, pas l'ombre d'une expression sur son visage. Il soupire bruyamment et se relève soudainement. « c'est grotesque. » dit-il, secouant la tête de gauche à droite. « bordel, tu vas te mettre à parler Lyons?! » s'exclame-t-il, tapant un grand coup sur la table se trouvant en face d'elle. Elle tressaute, son regard vagabondant toujours au loin. « ça fait des semaines que j'me casse le cul à venir te voir pour décrocher ne serait-ce qu'un mot et toi tu continue de faire l'autruche. tu crois que ça m'amuses?! » continue-t-il, la pointant du doigt. Toujours rien. Il fulmine en la voyant tellement stoïque. « ouais, j'ai tué ta soeur, si ça peut te faire plaisir j'veux bien le dire même si c'est faux. mais si j't'avais écouter, elle serait encore un légume à l'heure qu'il est. Comme toi. Tu es un putain de légume Fitzgerald alors bouge ton cul et parle. » s'écrit-il. La bouche de Sienna s'ouvre et se ferme pour la première fois depuis des semaines. Elle veut parler, lui dire que c'est faux, mais rien ne sort. Finalement, sa langue vient taper contre ses dents. « monstre. » murmure-t-elle. « t-t'es un monstre. » finit-elle par dire, sans pour autant poser ses prunelles sur lui. Le visage de Simon change et ses traits si durs se mouvent pour lui donner un air surpris. Il ne s'attendait visiblement pas à ça. « docteur oswald! dans mon bureau. immédiatement. » peut-on entendre. Ce dernier se retourne. Dans l'encadrement de la porte, le chef de la chirurgie se tient, ayant assister à la scène.
Les yeux du chef se baladent instant sur lui, comme pour essayer de comprendre l'homme qui se trouve en face de lui. « j'étais tranquillement assis ici quand j'ai reçu l'appel d'un des psychologues de l'hôpital qui m'apprend qu'un de mes titulaires est en train de faire un scandale en psychiatrie. vous pouvez m'expliquer cela oswald? » demande le chef, avec un calme olympien. Eh bah voyons, un psychologue. De vrais collabos cela. Simon lève les yeux au ciel, comme pour montrer que l'exagération de la scène qui lui a été décrite. « ce n'était pas un scandale. j'ai juste voulu un peu la bousculer pour qu'elle sorte de son mutisme. ça a marché, vous en avez eu la preuve. » rétorque-t-il. Il aurait préféré qu'elle ne parle pas plutôt que de dire qu'il est un monstre. Ça le blesse venant d'elle. Qu'aurait-elle dit si le chef n'était pas intervenu? Tu es un monstre. Un meurtrier. Vas-t-en, j'te déteste. J'veux plus te voir. Sûrement quelque chose dans le genre. Rien que d'y penser, ça l'énerve. Il n'est pas un monstre, encore moins un meurtrier. Il fait juste son travail, voilà tout. « Sienna Lyons n'est pas votre patiente. vous n'avez pas à la traiter en temps que tel. » affirme-t-il. Simon baisse un instant les yeux. Il a raison, mais pourtant ça ne l'empêche pas de le faire et de recommencer s'il le faut. « je me suis beaucoup occupé de sa soeur lorsqu'elle était ici. il me paraît logique de faire de même avec elle. » se contente-t-il de répondre. Le chef le dévisage un instant, s'enfonce dans son siège en croisant les bras. Rien de bon qu'il vaille. « quels sont vos relations avec cette patiente? » demande-t-il, d'un ton des plus sérieux. Simon se fige un instant. « pardon? » lance-t-il. Il a bien entendu, mais il surpris d'une question aussi directe. Le chef retire un instant ses lunettes, comme s'ils allaient se lancer dans un débat sans fin. « vous allez lui rendre visite tout les jours depuis qu'elle est ici, vous vous énervez du fait qu'elle ne retrouve pas la parole.vous êtes très... impliqué. alors je veux savoir si vous entretenez une relation amoureuse avec Sienna Lyons. » répète-t-il. Le titulaire reste un moment sonné, écoutant les remarques de son patron. A vrai dire, il ne sait même pas quoi répondre pour la simple et bonne raison qu'il n'arrive pas à mettre de mots sur le lien qu'ils ont. « non! je... » balbutie-t-il. Il s'arrête en pensant à ce baiser qu'il lui a donné avant l'opération. L'a-t-il fait pour l'apaiser? L'a-t-il fait par envie? L'a-t-il fait parce qu'il avait de la peine? Il n'a pas envie de répondre à ça. Car dans un coin de sa tête, lui seul sait pourquoi il l'a fait et cela pourrait faire pas mal de dégâts. « vous êtes en train de franchir la ligne rouge Simon. jusqu'à nouvelle ordre, le pôle psychiatrique vous est interdit. » conclut-il, coupant court à tout ce foutoir.
"Sienna, c'est Oswald. ne te demande pas comment j'ai eu ton numéro, c'est bien assez compliqué pour que je te donne une réponse. j'aurais préféré entendre ta voix, toi sûrement pas mais... je tenais à m'excuser. je... je pensais vraiment réussir à sauver ta soeur. je ne voulais pas que ça finisse comme ça, vraiment pas. avec mon envie de régler les problèmes, j'ai détruit sa vie et la tienne par la même occasion. j'ai ôté la mère à un enfant et je ne le voulais pas. j'en suis conscient et même pour toi je ne suis rien d'autre qu'un tueur, j'aurais voulu pouvoir discuter avec toi, te montrer que tu n'es pas la seule affecté par cela. alors je m'excuse encore, pour tout, pour le mal que je t'ai causé. pas pour le baiser. ça je ne m'excuserai jamais. j'me dis que dans d'autres circonstances on aurait peut-être... pu faire un bout de chemin ensemble. prend soin de toi Sienna. à un de ces jours."
nikolaï lyons. – the lion vs the killer. Simon et Nikolaï. Si ce dernier ne connaissait pas l'existence de cet individu auparavant, il se trouve que l'un comme l'autre, aurait aimé que cela en reste ainsi. Simon, c'est celui qui a opéré sa sœur. Qui a essayé de la sauver, comme il lui dit si bien quand il a dû le confronter, quand il dût affronter la colère ingérable d'un Nikolaï endeuillé. Il a cherché une personne à blâmer pour le départ de celle qu'il chérissait et ce chirurgien fut la seule et unique personne sur laquelle il put y voir quelqu'un à haïr. Nikolaï n'a pas cherché à comprendre, n'a pas pris la peine de voir les efforts faits par le chirurgien pour porter secours à celle qui en avait besoin. Aveuglé par la tristesse et par l'amour qu'il portait pour l'aînée des sœurs, accablé par la peine de ne pas avoir pu lui dire au revoir proprement, ne pas avoir été là durant l'opération, il reste encore aujourd'hui celui qui éprouve une amertume colossale envers Simon. Les poings qui démangent et la langue acérée dès qu'il l'aperçoit, l'envie de lui refaire le portrait n'est que trop présent. Et c'est certainement quelque chose que Nikolaï ne pourra pas oublier, ne pourra pas pardonner, étant bien trop borné et têtu pour ouvrir les yeux sur une réalité qu'il a du mal à accepter. – Looking for a breath of life.bonjouuuur/bonsoooooir, tout dépend de l'heure à laquelle tu lis ce message, petit voyeur. :hé: je te remercie d'être là, ce qui prouve que j'ai réussi à t’appâter avec mon histoire, sinon tu serais reparti en ayant lu deux lignes en disant "mon dieu que c'est à chier!". (a) en tout cas c'est cool que tu sois là. ≈ bon, on en est arrive à une des parties que j'préfère, l'instant négoc' et compagnie. tu n'as pas à t'en faire, je ne suis pas trop exigeante, enfin dans la mesure du possible. disons que j'ai une idée bien précise du personnage, de sa manière de se comporter sur certains points, la relation qu'ils ont, mais pour tout le reste, je préfère vous laisser libre choix. je vous ais quand même mis quelques trucs hein, parce que j'allais pas laisser le scénario à moitié vide, mais faites comme bon vous semble, sans me dénaturer mon p'tit Simon quand même. (a)
≈ concernant l'avatar, je voulais un homme qui fasse viril, voir bad boy, mais qui a une tête de gentil, comme le caractère du personnage. mon choix s'est donc porté sur taylor kinney, dont le sourire -et le corps accessoirement- est à se damner, qui correspond tout à fait à l'idée que je me fais du personnage. si vous n'êtes pas trop fan, j'ai opté pour daniel gillies, qui est ultra sexy en médecin (#savinghope #joelgoran #jeveuxunmédecincommeluilaprochainefoisquejmeretrouveauxurgences), pour wilson bethel, qui dégage une virilité monstre et qui est aussi le seul blond que j'aime dans l'univers entier, sans oublier mike vogel, qui est pas mal dans son genre aussi. regarde, ils sont pas beaux mes quatre poulains?
- Spoiler:
≈ alors, pour la présence... j'm'en fiche un peu en fait. bien sûr, je voudrais que leur histoire avance quand même. après, je pense que tu sais comment ça se passe. en fait, je cherche vraiment quelqu'un sur la durée, quelqu'un de motivé pour écrire une belle, compliquée et longue histoire. si tu sais que tu es du genre à te lasser, lâche l'affaire. je veux quelqu'un qui s'engage. (mon dieu on s'croirait dans une vraie relation amoureuse. )
voilà, je pense avoir tout dit. alors oui ça fait de la lecture, mais ça permet de bien comprendre mon point de vue. et si tu craques, je t'attend du côté de ma boite à mp pour qu'on puisse discuter de tout cela.
à très vite mon enfant. |
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